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Dès l’âge de cinq ans, Max a commencé à se plaindre très souvent de douleurs aux jambes. Quelque temps plus tard, il a été hospitalisé pour des diarrhées, des 

crampes au ventre, de la fatigue extrême, de la faiblesse, de insomnie, des raideurs 

au cou, des problèmes de mémoire, de la douleur aux yeux, de la douleur musculaire et articulaire, des  picotements aux pieds. Les examens ont révélé une 

inflammation au foie et une atteinte musculaire.

Sans aucun diagnostic, Max a été suivi sur une période d’un an, avec des prises de sang tous les trois mois. Dès que les analyses sont revenues à la normale, ils ont interrompu les investigations. Mais Max continue d’avoir mal et l’errance 

médicale se poursuit. Rendez-vous de spécialiste en spécialiste, il a rapidement

reçu l’étiquette de « trouble psychosomatique ». 

  

Voici quelques conclusions de médecin pour expliquer ses plaintes : Difficultés

d’apprentissage, déménagement, sûrement une façon  d’attirer l’attention,

il aime jouer avec la sensibilité de maman, il est trop anxieux, il faut vite lui prescrire des antidépresseurs. Il ne faut jamais lui demander comment il va et 

c’est important de l’ignorer quand il parle de douleurs. 

Max me dit que ses douleurs sont bien réelles et constantes, et qu’il n’en parle que lorsqu’elles  deviennent trop intenses. Il ne veut plus voir de médecin, ni aller dans les hôpitaux ou à l’école parce que personne ne le croit. 

Max est malade depuis trois ans, il s’habitue à vivre avec la douleur, quand les gens le regardent, ils ne voient pas un garçon malade ou souffrant. Il peut dormir sur son pupitre à l’école (épuisé par ses efforts pour se concentrer) mais aussi courir et rire aux éclats.  C’est une maladie qu’on ne voit pas et il y a une panoplie incroyable de symptômes intermittents. 

Nous avons rencontré un infectiologue dans l’espoir de lui faire passer des tests pour les coinfections et nous sommes sortis du cabinet avec une requête pour une

consultation avec un psychologue, pour mon fils et pour moi. C’est incroyable comme tout devient difficile dès qu’on prononce le mot ‘’Lyme’’. 

J’étais à bout de souffle, quand dans mes recherches internet,  j’ai trouvé un groupe de soutien. J’ai parlé à quelques parents qui ont des enfants malades et pour la première fois en trois ans, je vois la lumière au bout du tunnel

On a alors consulté un docteur spécialiste en maladie de Lyme et Max est finalement diagnostiqué cliniquement atteint de cette maladie.    

Nous avons débuté les traitements avec les produits naturels en espérant retrouver

bientôt notre garçon en santé et épanoui, pour qu’il vive finalement une enfance

heureuse. 

Isabelle

mère de Max

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Les noms et image sont présentés à titre indicatif à la demande de la famille, dans le but de garder l'anonymat. En aucun cas, le model représenté sur cette image ne peut être considéré comme un enfant souffrant de Lyme ou de toute autre maladie.

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